George Harrison
George Harrison MBE, né le 25 février 1943 à Liverpool, mort des suites d'un cancer à 58 ans, le 29 novembre 2001 à Los Angeles, est un guitariste, chanteur, auteur-compositeur britannique.
Catégories :
Naissance en 1943 - Naissance à Liverpool - Décès en 2001 - Musicien anglais - Chanteur anglais - Guitariste anglais - Producteur britannique - Chanteuse et chanteur des années 1960 - Chanteuse et chanteur des années 1970 - Chanteuse et chanteur des années 1980 - Chanteuse et chanteur des années 1990 - Musicien de rock - Chanteur de rock - Guitariste de rock - Musicien world - Joueur de Ukulélé - Auteur-compositeur - Acteur anglais - Membre des Beatles - The Beatles - Victime d'une tentative de meurtre - Guitariste jouant sur Gibson
George Harrison | |
George Harrison en 1974
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Alias | L'Angelo Misterioso Hari Georgeson Nelson/Spike Wilbury George Harrysong Carl Harrison George O'Hara-Smith |
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Naissance | 25 février 1943 Liverpool, Royaume-Uni |
Décès | 29 novembre 2001 (58 ans) Los Angeles, États-Unis |
Profession (s) | Musicien Chanteur Guitariste Producteur de Cinéma |
Genre (s) | Pop rock Rock britannique |
Instrument (s) | Guitare Ukulélé Sitar claviers |
Années actives | 1958 - 2001 |
Label (s) | EMI Apple Corps Dark Horse Records |
Site Web | georgeharrison. com |
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Entourage | The Beatles Paul McCartney John Lennon Ringo Starr Traveling Wilburys Eric Clapton Jeff Lynne |
George Harrison MBE, né le 25 février 1943 à Liverpool, mort des suites d'un cancer à 58 ans, le 29 novembre 2001 à Los Angeles, est un guitariste, chanteur, auteur-compositeur britannique. Il fut aussi producteur de cinéma via sa société Handmade Films.
Il était le plus jeune des quatre membres du groupe The Beatles.
Biographie
Enfance et adolescence (1943–1958)
Dernier né d'une fatrie de quatre enfants, George Harrison passe une enfance tranquille dans sa famille de classe moyenne de Liverpool : son père; Harold Hargreaves Harrison; est chaufeur de bus et sa mère; Louise French; était vendeuse. La famille est catholique. Adolescent, il marque particulièrement vite son indépendance par sa tenue vestimentaire (il porte des blue-jeans et un blouson de cuir) et son attitude. Passionné de rock, apprenti guitariste, écoutant en boucle Carl Perkins, pour ensuite être séduit par les déhanchements du King, les mélodies suaves de Buddy Holly et l'âpreté du blues noir américain ; il fonde avec son frère Peter : The Rebels, sa première formation. Élève au Liverpool Institute, il y retrouve un ami d'enfance Paul McCartney qui lui propose de rejoindre, en compagnie de John Lennon, les Quarrymen. Il a à peine 15 ans.
Avec les Beatles (1958–1970)
C'est en février 1958 que John Lennon, sur l'insistance de Paul McCartney, l'engage comme guitariste solo. Il devient le plus jeune membre des Quarrymen.
En 1960, ils deviennent les Beatles et se produisent, entre autres, dans les boîtes à striptease de Hambourg ainsi qu'à Liverpool avant de connaître, en premier lieu en Europe puis, à partir de 1963 à travers le monde, le succès le plus spectaculaire de l'histoire du rock et du disque.
Initialement et avant tout guitariste solo des Beatles, George Harrison compose quelques titres au sein du groupe, au début de leur carrière, dont : Don't Bother Me (1963), If I Needed Someone (1965), I Need You (1965), Think for Yourself (1965) et You Like Me Too Much (1965).
L'influence de Harrison se fait davantage sentir au sein du groupe à compter de 1965, lorsqu'il commence à s'intéresser aux instrumentations orientales qui seront graduellement intégrées dans la musique et l'univers des Beatles. Le sitar fait ainsi son apparition sur la chanson Norwegian Wood de l'album Rubber Soul (1965).
Lors du tournage du film A Hard Day's Night, George Harrison rencontre Pattie Boyd, mannequin modèle de dix-neuf ans. Il l'épouse le 21 janvier 1966.
L'album Revolver, paru l'été 1966, compte trois compositions de Harrison, dont Taxman. En 1967 paraît l'album Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band sur lequel il signe Within You Without You, tout en intégrant des instruments indiens variés sur des titres comme Lucy In The Sky With Diamonds ou Getting Better.
Harrison découvre la méditation transcendantale tandis qu'il est à Bombay, fin 1966, pour prendre des leçons de sitar dans l'école de Ravi Shankar. Avec son épouse Pattie, il est alors passionné de sagesse orientale : il cherche à comprendre le sens de la vie ainsi qu'à atteindre la paix de l'âme. Il s'intéressera à l'Inde ainsi qu'aux philosophies orientales jusqu'à sa mort, enregistrant et produisant des artistes comme Ravi Shankar.
Dès son retour en Angleterre, début 1967, il fait rencontrer le Maharishi Mahesh Yogi aux autres Beatles, lors d'une conférence, et tous se retrouvent à un séminaire organisé à Bangor (Pays de Galles), en compagnie de nombreuses autres célébrités comme Mick Jagger. En 1968, les Beatles se rendent, avec leurs épouses, leurs enfants et d'autres personnalités au pied de l'Himalaya, à Rishikesh, dans l'ashram de Maharishi, pour un séminaire de plusieurs semaines, au cours duquel il leur enseignera la méditation transcendantale.
Les plus grandes compositions (et les plus connues) de Harrison sont rédigées au cours des dernières années d'existence des Beatles, son influence se faisant en particulier sentir dans les albums The Beatles en 1968 — dans lequel il signe quatre chansons, dont While My Guitar Gently Weeps — et Abbey Road en 1969 — avec Something et Here Comes the Sun — où il introduit un tout nouvel instrument, le synthétiseur, dans les morceaux du dernier disque des Beatles.
Frustré par son rôle au sein du groupe, restant, comme auteur-compositeur, à l'ombre du tandem Lennon/McCartney, George Harrison, s'il n'est pas à l'origine de la séparation (John Lennon quitte le groupe le premier, en septembre 1969), ne sera pas moins en parfait accord, et partie prenante, des évènements menant à la dissolution des Beatles.
Carrière solo (1970–2001)
Parallèlement à sa carrière au sein du groupe, George Harrison enregistre des albums en solo dont Wonderwall Music, premier disque sorti sur le label Apple, et Electronic Sound, un des seuls disques à être apparu sur le label Zapple, conçu pour recevoir des projets d'avant-garde.
C'est avec son triple album, All Things Must Pass, sorti en novembre 1970 et produit par Phil Spector, qu'il s'imposera commercialement. L'album rencontra un succès fulgurant, surtout le titre My Sweet Lord, qui se vendra par millions et qui reste une des chansons les plus populaires des années 1970. All Things Must Pass était composé de quatre faces de chansons et de deux faces de jam-session et figure sans aucun doute comme un des meilleurs albums publié par un ex-Beatle. Outre My Sweet Lord, What Is Life et Isn't It a Pity tourneront aussi sur les radios en ce début de décennie. Par contre, la chanson My Sweet Lord lui valut un procès pour plagiat, qu'il perdit. En effet, il aurait repris, sans le vouloir, l'air d'une chanson He's So Fine d'un groupe américain, The Chiffons, qui avait connu un certain succès en 1963.
En 1971, Harrison organise le Concert for Bangladesh, le premier grand concert de charité comprenant une brochette de rock stars, dont Eric Clapton, Bob Dylan, Ravi Shankar et Ringo Starr. Les profits iront tardivement au Bangladesh après que le fisc américain ait épluché les comptes d'Apple, la société de production des Beatles. Harrison participa aussi à plusieurs morceaux sur l'abum de Lennon Imagine en 1971. L'album suivant, Living in the Material World, publié en 1973 (avec Nicky Hopkins, Klaus Voormann, Ringo Starr, Jim Keltner... ), rencontra aussi un succès relatif, essentiellement le titre Give Me Love, qui sera classé numéro un des deux côtés de l'Atlantique au printemps 1973.
Il lance en 1974 son propre label de disque, Dark Horse. L'album du même nom, sorti cette même année, sera un échec. Il connaîtra un véritable fiasco, à la même époque, lors de sa première tournée en solo — qui sera aussi sa dernière — aux États-Unis. Les problèmes personnels se succèdent, le chanteur se sépare de sa femme qui ira vivre avec son ami de toujours, Eric Clapton. Les deux hommes resteront brouillés jusqu'à la fin des années 1980.
Après l'accueil catastrophique réservé à Dark Horse, Harrison sort Extra Texture - Read all about it en 1975 et ne fait rien pour rétablir la situation au niveau de la critique. Il se reprendra en 1976 avec Thirty Three & 1/3, un excellent album qui fait référence à la vitesse de rotation d'un disque, ainsi qu'à l'âge de George au moment de son enregistrement. On y retrouve un Harrison bien plus enjoué que sur les albums qui ont précédé. Avec Olivia Trinidad Arias, sa compagne depuis 1974, il devient papa d'un petit garçon Dhani, le 2 août 1978, trois mois après la mort de son père. Il épouse Olivia le 17 août.
En 1980 paraît son ouvrage autobiographique I, Me, Mine, rédigé en collaboration avec Derek Taylor. Dans la première partie de l'ouvrage, il trace un libre parcours de la carrière des Beatles et de la sienne et apporte ses réflexions. La seconde partie comporte le texte définitif de quatre vingt-trois de ses chansons, avec les circonstances de leur création.
L'artiste renoue avec le succès commercial en 1981 avec le simple All Those Years Ago, hommage à son défunt collègue John Lennon, et il lui fallut attendre la fin des années 1980 pour retrouver les faveurs du grand public, grâce à son album Cloud Nine (paru fin 1987) qui contenait trois tubes : Got My Mind Set On You, When We Was Fab (tous deux soutenus par des clips-vidéo amusants, ou alors inspirés) et This Is Love.
Malheureusement, ce retour en grâce ne fut pas confirmé par d'autres albums studio, du moins en son nom propre, dans la mesure où il s'est alors consacré à son projet collectif, les Traveling Wilburys en compagnie de Roy Orbison, Tom Petty, Jeff Lynne et Bob Dylan. En 1992, il se produira même au Japon en compagnie d'Eric Clapton, avec qui il avait finalement renoué.
Ce n'est que peu après sa mort d'un cancer que parut, en 2001, son dernier album Brainwashed.
Sa dernière chanson, Horse to water, avait été coécrite avec son fils et enregistrée au début du mois d'octobre. Elle était destinée au chanteur et pianiste britannique Jools Holland. George Harrison, réputé pour son humour pince-sans-rire et décalé, venait d'attribuer cette ultime composition à une mystérieuse maison d'édition dénommée RIP, sigle de Rest In Peace (Repose en paix).
La création du spectacle musical Love fût, à la base, une idée de Harrison, qu'il avait commencée à élaborer avant sa mort.
Une de ses passions était le ukulélé, dont il était un collectionneur notoire et un joueur émérite. Il s'intéressait surtout à la variante la plus commune au Royaume-Uni de cet instrument : le banjo-ukulélé. George Harrison restera comme un des membres des mythiques Beatles, un grand guitariste, mais également comme un grand compositeur. Frank Sinatra tenait sa chanson la plus célèbre, Something, pour la plus belle chanson du siècle dernier.
Fin de vie
En août 1997, George Harrison apprit qu'il était atteint d'un cancer de la gorge. Il fut rapidement soigné et déclara en 1998, après une opération à Londres, qu'il était pleinement guéri[1].
A la fin de l'année 1999, il fut poignardé à son domicile par un déséquilibré, Michæl Abram, qui avait réussi à s'introduire dans sa propriété de Friar Park à Henley-on-Thames. Dans la soirée du 30 décembre 1999, George Harrison fut frappé de plusieurs coups de couteau, surtout à la poitrine, avant qu'il ne parvienne, avec sa femme Olivia, à maitriser son agresseur ainsi qu'à le livrer à la police[2]. Le musicien, sévèrement blessé, limita au maximum ses apparitions en public ensuite.
En 2001, le cancer de George Harrison reprit de l'ampleur, des métastases s'étant développées en plusieurs lieux. Malgré un traitement particulièrement agressif, une opération en mai aux Etats-Unis et une autre en juillet en Suisse[2], il apparut que la maladie était dans sa phase terminale, avec une tumeur du cerveau. Il passa les derniers mois de sa vie aux côtés de sa famille et de ses amis, en œuvrant aussi à la réalisation de son dernier album, Brainwashed, qui fut publié après son décès.
George Harrison a disparu à 13h30 le jeudi 29 novembre 2001, dans la maison de son ami Gavin De Becker, à Los Angeles[3]. Le jour de sa mort, la famille Harrison publia le communiqué suivant : "He left this world as he lived in it : conscious of God, fearless of death and at peace, surrounded by family and friends. He often said, 'Everything else can wait but the search for God cannot wait, and love one another'. " (Il a quitté ce monde comme il y avait vécu : conscient de Dieu, sans peur de la mort et en paix, entouré de sa famille et de ses amis. Il disait fréquemment : "tout le reste peut attendre, mais pas la recherche de Dieu et l'amour du prochain") [3].
Discographie
Albums
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Compilations
- The Best of George Harrison (1976)
- Best of Dark Horse 1976-1989 (1989)
- Dark Horse Years 1976-1992 (2004)
- Let It Roll (2009)
Participations
- 1968 : "Sour Milk Sea " composée par Harrison et interprétée par Jackie Lomax
- 1969 : Badge avec Eric Clapton et le groupe Cream il prend pour l'occasion le pseudonyme d'Angelo Mysterioso
- 1971 : Imagine de John Lennon
- 1987 : Duane Eddy & the Rebels (Capitol Records) avec Paul McCartney, Ry Cooder, Jeff Lynne, Jim Keltner, Steve Cropper
- 1990 : a rédigé la chansonThat kind of woman pour Gary Moore, figurant dans l'album Still got the Blues , dans laquelle il joue de la guitare et chante en «backing vocals».
Cinéma
A travers sa société de production Handmade Films, George Harrison fut le producteur de certains films des Monty Python (dont les membres étaient de ses amis personnels), surtout La Vie de Brian.
Malheureusement pour lui, il a aussi financé le film Shanghai Surprise, avec Madonna et Sean Penn, qui fut un fiasco économique et artistique.
Lien externe
Distinctions
- Introduit au Rock and Roll Hall of Fame - (2004)
- Billboard Music Awards - (1992)
- Ordre de l'Empire britannique - (1965)
- classé 21e meilleur guitariste de l'ensemble des temps par le magazine américain Rolling Stone dans le classement des 100 Meilleurs guitaristes de l'ensemble des temps.
Bibliographie
En anglais
- (en) Dale C. Allison, The Love There That's Sleeping : The Art and Spirituality of George Harrison, Continuum Mondial, 2006, 168 p.
- (en) Pattie Boyd et Penny Junor, Wonderful Today : The Autobiography of Pattie Boyd, Headline Review, 2007 (réimpr. 2008), 320 p. Autre édition : Wonderful Tonight : George Harrison, Eric Clapton and Me, Harmony, 2007 et Three Rivers Press, 2008, 336 p.
- (en) Alan Clayson, The Quiet One : A Life of George Harrison, Sidgwick & Jackson, 1990, relié, index, 324 p. (ISBN 0-283-99862-8) + Réédition, broché, Sanctuary, 1997.
- (en) Geoffrey Giuliano, Dark Horse : The Private Life of George Harrison, Dutton ou Stoddart ou Bloomsbury, 1989, relié, index, 242 p. + Édition révisée, broché : Pan ou Plume, 1991 et Perseus ou Da Capo Press, 1997.
- (en) Joshua M. Greene, Here Comes the Sun : The Spiritual and Musical Journey of George Harrison, Bantam, 2006, réédition John Wiley and Sons, 2007 et 2008, 304 p.
- (en) George Harrison, I Me Mine, Genesis Publications, 1980, particulièrement grand format, relié cuir, paroles de 83 chansons, index, 400 p. (ISBN 0-90435-107-6) Édition limitée, signée et numérotée, en coffret. Plusieurs rééditions standard chez divers éditeurs, dont une avec une nouvelle introduction par Olivia Harrison, chez Weidenfeld & Nicholson, relié, 2002, 400 p.
- (en) George Harrison (ill. Keith West ), Songs by George Harrison Volume one, Genesis Publications, 1987, 17 5 cm × 25 cm, relié cuir, 176 p. (ISBN 0-90435-136-X) Édition limitée, signée par les deux auteurs et numérotée, en coffret, avec un vinyl ou un CD 4 titres.
- (en) George Harrison (ill. Keith West ), Songs by George Harrison Volume two, Genesis Publications, 1992, 17 5 cm × 25 cm, relié cuir, ... p. (ISBN 0-90435-139-4) Édition limitée, signée par les deux auteurs et numérotée, en coffret, avec un vinyl ou un CD 4 titres.
- (en) Olivia Harrison et Brian Roylance, Concert for George, Genesis Publications, 2006, 24 cm × 32 cm, relié, 308 p. (ISBN 0-90435-192-0) Édition limitée, signée par O. H. et numérotée, en coffret. Concerne le concert hommage du 29 novembre 2002, au Royal Albert Hall de Londres.
- (en) Bill Harry, The George Harrison Encyclopedia, Virgin Books, 2003, 400 p. (ISBN 0-7535-0822-2)
- (en) Elliot J. Huntley, Behind That Locked Doors : George Harrison After the Break-up of the Beatles, Xerostar Holdings, 2002, 424 p., réédition Mystical One : George Harrison After the Break-up of the Beatles, Guernica (Canada), 2004, 300 p.
- (en) Simon Leng, While My Guitar Gently Weeps : The Music of George Harrison, Firefly (2002, 224 p. réimpression SAF, 2003 +réédition entièrement révisée et augmentée, Hal Leonard, 2006, 304 p.
- (en) Marc Shapiro, Behind Sad Eyes : The Life of George Harrison, St. Martin's Press, 2002, 256 p., réédition All Things Must Pass : The Life of George Harrison, Virgin books, 2003 et mise à jour en 2008, 256 p.
- (en) Rolling Stone Magazine (préface de Olivia Harrison), George Harrison, Simon & Schuster, 2002, 242 p.
En français
- Jacques Volcouve, George Harrison : Anthologie, 1943-2001, Hors collection, Paris, 2002, 438 p. (ISBN 2-258-05894-5)
Notes et références
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